CATALOGUES d'EXPOSITIONS
- "Monet - Light, shadow and reflection" - "Claude Monet et Alice Hoschedé",
Riehen (Basel), Suisse, Fondation Beyeler, 22 janvier-28 mai 2017.
- "Drawing Now 2017 - Master Now & à fleur de peau", Paris, Le Carreau du Temple,
23-26 mars 2017.
- "Philippe Cognée, la matière remuée", Eymoutiers, Espace Paul Rebeyrolle,
28 mai-26 novembre 2017,
OUVRAGES GENERAUX
- "Galerie Templon I 50 years" (reprises de différents textes, Paris, Daniel Templon, 2016.
- "Amina Benbouchta. Le mémoriel, l'affect et l'imaginaire", Marrakech, KA Art, 2017.
- "Claude Viallat dessins - Le dessin à l'épreuve", Paris, Modernes I Ceysson, 2017.
- "Hoon Kwak, élan vital", Beijing (Chine), Phosphorus & Carbon, 2017.
L'OEIL, mars 2017, #699
- Grand portrait : "Valère Novarina. Trop de tout"
- Grand papier : "Olivier Debré. Rouge-orange coulé... Laerdal"
/art absolument/, mars-avril 2017, numéro 76
- Carnets de route : ""Chambres d'amis" à Vaison-la-Romaine"
- Entretien : "Anne Laure Sacriste. Entre réalité et présence"
L'OEIL, avril 2017, #700
- Portrait : "Laurence des Cars"
- Portrait : "Gérard Collin-Thiébaut"
- Grand papier : "L'esprit des révolutions dans l'art en France - 1955-2017"
artpress, mai 2017, n° 444
- Compte-rendu d'exposition : "Pat Andrea, galerie Laurent Strouk"
L'OEIL, mai 2017, #701
- Grand portrait : "Bernard Rancillac, la peinture insoumise"
- Nécrologie : "Salut, Henri (Cueco) !"
- Compte-rendu d'exposition : "La vitalité de la création africaine à la Villette et à Lille"
/art absolument/, mai-juin 2017, numéro 77
- Carnets de route : "Carnets de route - Virée coréenne à Séoul, Daegu et Jeju"
- Grand papier : ""Un musée pour Maître Kim (Tschang Yeul)"
L'OEIL, juin 2017, #702
- Grand portrait : "Claire Tabouret. Identité mouvante"
- Portrait : "Christine Macel"
- Biennale de Venise : "Pavillon central & Arsenal - Viva Arte Viva,
une exposition trop généreuse"
"Pavillon allemand - Le Lion d'Or à la performeuse Anne Imhof"
"Pavillon Français - Un studio bienveil(h)an"
"Pavillon autrichien - L'imaginaition débordante d'Erwin Wurm"
"Pavillon de Taïwan - La raicalité conceptuelle de Tehching Hsieh"
CONFERENCE PHILIPPE PIGUET - THOMAS TRONEL GAUTHIER - 1er JUIN 2017//ABBAYE, ESPACE D'ART CONTEMPORAIN, ANNECY-LE-VIEUX
La Fondation pour l'art contemporain Claudine et Jean-Marc Salomon a le plaisir de vous inviter à la dernière conversation de Philippe Piguet et de Thomas Tronel Gauthier, le jeudi 1er juin à 19h, à l'Abbaye, Espace d'art contemporain
à Annecy-le-vieux.
Réservations : au 04 50 02 87 52 ou à l'adresse: contact@fondation-salomon.com
L’Abbaye - Espace d’Art Contemporain
15 bis chemin de l’Abbaye - Annecy-le-Vieux - Annecy
Créée en 1895, la Biennale de Venise est non seulement la première manifestation d’art contemporain dans le genre mais elle demeure l’une des plus importantes au monde, offrant à voir un panorama très complet de la création vivante dans le domaine des arts plastiques. En 1964, la 32ème Biennale de Venise s’est soldée par un affrontement entre la France et les Etats-Unis au terme duquel nos cousins d’Amérique ont définitivement damé le pion à la scène européenne.
Jeudi 4 mai - 19h
Massinissa Selmani par Philippe Piguet,
commissaire chargé des expositions
Galerie de l’Étrave, au sein du Théâtre Maurice Novarina.
Massinissa Selmani est né en 1980 à Alger. Après des études en informatique en Algérie, il intègre l’École Supérieure des Beaux-Arts de Tours dont il sort diplômé en 2010. Présenté à la 56ᵉ Biennale de Venise (2015), Massinissa Selmani a reçu une mention spéciale du Jury. En 2016, il a été le dixième lauréat du prix Art [ ] Collector à Paris et a reçu le prix SAM art Projects 2016 pour l'art contemporain.
La démarche de Massinissa Selmani a comme fil conducteur, les multiples expérimentations qu’offre le dessin. Les sujets de ses œuvres trouvent souvent leur origine dans les actualités politiques, sociales et les coupures de presse. Les images qu’elles contiennent ont subi des processus de sélection, de traitement et de cadrage. Elles obéissent à des codes du documentaire, de l’archive et parfois de mise en scène et de narration et offrent un champ d’expérimentation permanent.
Jeunes artistes à suivre :
Julien Beneyton
Mathieu Dufois
Claire Tabouret
Mardi 25 Avril 2017
à 20h30
à l'Abbaye de Léhon
Entrée libre
« Ils ont entre 30 et 40 ans, sont apparus sur la scène artistique depuis quelques années, ont retenu l’attention de la critique, des institutions et des collectionneurs. Qu’est-ce qui les distinguent ? Quelle promesse d’avenir porte leur travail ? En quoi leur œuvre fait-elle sens ? De quoi sont-ils les témoins ?
À la découverte de trois jeunes talents... »
Angélique Lecaille, l’intime et le sublime
D’improbables architectures, des pans de lumière aveuglante, des formes calcinées, des trous noirs profonds… Face aux dessins d’Angélique Lecaille, le regard s’interroge : Où cela a-t-il eu lieu ? Quand cela a-t-il eu lieu ? Quelque chose de primordial y est à l’œuvre qu’aucune parole ne semble pouvoir jamais dire. Et pourtant, il y va de l’idée générique de paysage. D’une vision puissamment habitée que l’artiste s’applique à révéler soit en de mystérieuses compositions qui jouent d’étendues, d’effractions ou de magmas, soit dans la forme de volumes tout aussi impensables.
L’art d’Angélique Lecaille est requis par l’espace dans cette relation existentielle au monde qui la conduit à fouiller dans les abîmes de l’être, en son for le plus intime. « Le sujet, c’est toi-même, dit Delacroix, ce sont tes impressions, tes émotions devant la nature. C’est en toi qu’il faut regarder et non autour de toi. » Chez elle, le sujet est surtout à l’écho d’une perception du monde qui en vise une forme d’ampliation mémorable et sensible, construite ou organique, c’est selon, à l’aune d’une exploration interrogeant tant les règnes végétal ou minéral que les possibles de la surface et du volume.
Intitulée Un balcon au-dessus du brasier, l’exposition d’Angélique Lecaille s’offre à voir comme une invitation à parcourir un paysage imaginaire, plus mental que physique, dans lequel le promeneur, solitaire, est libre de se projeter comme il lui plaît. A la façon dont Odilon Redon quêtait après « tout ce qui dépasse, illumine ou amplifie l’objet, et surélève l’esprit dans la région du mystère, dans le trouble de l’irrésolu et de sa délicieuse inquiétude », la démarche d’Angélique Lecaille vise à unir l’intime et le sublime.