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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 08:25

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Portrait, 1981                                                                        Autoportrait, 1982

 

Figure phare des années 1980, Jean-Michel Basquiat (1960-1988), Jean-Michel Basquiat a dévoré la vie à cent à l’heure dans une sorte de panique quasi existentielle, nous laissant une oeuvre d'une implacable puissance d'expression.

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24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 08:57

= Portrait : "Olivier Kaeppelin. Grand serviteur de l'art",

   à l'occasion de sa nomination à la direction

   de la Fondation Maeght à Saint-Paul (06).

 

Kaeppelin-Olivier---2011.jpg

  photo © Fred Marigaux

 

= Participation au dossier "Toys Stories",

   à l'occasion de l'expostion "Des jouets et des hommes",

   Paris, Grand Palais, jusqu'au 23 janvier 2012.

 

     - "Ces artistes qui inventent leurs propres jouets" 

 

Bellmer.jpg 

Hans Bellmer, La demi Poupée, 1971

 

      - "Le jeu dans l'art contemporain, en Suisse"

          à l'occasion de l'exposition "Ecce homo ludens. Le jeu dans l'art contemporain",

          Musée suisse du jeu, La Tour-de-Peilz, (Ch), jusqu'au 5 février 2012.

 

       - Entretien : "Annette Messager : "Les jouets, c'est l'apprentissage de la vie""

 

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Annette Messager, La Croix gantée, 2002-2004

 

      - Entretien : "Hervé Halgand, directeur de Vilac : "Le jouet offre aux artistes

        une poésie enfantine""

 

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     - "Yayoi Kusama. Le "pois" de l'enfance",

         à l'occasion de son exposition, Paris, Centre Pompidou, jusqu'au 9 janvier 2012.

 

 Kusama.jpg

 Yayoi Kusama, The Moment of Regeneration, 2004

 

 

= Compte-rendus d'expositions :

 

 

      - "Hans hartung, de l'art de l'estampe",

         Vannes (56), La Cohue - Muisée des beaux-arts, jusqu'au 29 janvier.

 

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Hans Hartung dans l'atelier de Gustavo Gill à Barcelone en 1970

 

     - "Velickovic, de la difficulté d'être"

         Toulouse (31), Les Abattoirs, jusqu'au 29 janvier 2012 .

 

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Vladimir Velickovic, Crucifixion, 1998 

 

 

       - "Rémy Marlot, sublime et monstrueux"

           Rouen (76), POôle Image, jusqu'au 22 décembre 2011.

 

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Rémy Marlot, Black Churches, 2007

 

       - "Marrakech Art Fair, une ambitieuse saison 2",

           Marrakech, Palace Es Saadi, 30/09-03/10/2011.

 

Marrakech.jpg

 

 

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 22:51

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    Souvenirs de Ben   n 

 

Je me souviens de la première exposition que j’ai vue de Ben. C’était à Paris, rue Bonaparte, dans la toute jeune galerie d’un certain Daniel Templon dont on disait qu’il avait été prof de gym mais que sa passion pour l’art contemporain avait pris le dessus.

 

Je me souviens, c’était en 1970, je n’étais pas encore vraiment aguerri à l’art contemporain et je crois bien n’avoir pas osé rentrer dans la galerie mais être resté planté devant la vitrine. J’étais proprement fasciné par l’audace de cet artiste qui osait faire des tableaux réduits à une simple écriture en blanc sur fond noir.

 

Je me souviens d’un tableau sur lequel il était écrit : « Signé Ben » et d’un autre, aperçu à travers la porte, sur lequel on pouvait lire : « Dieu existe »...

 

 

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 23:31

 Route de l'art,

     les impressionnistes au fil de l'eau

 avec votre serviteur pour guide

 sur les pas de Monet, à Giverny et à Vétheuil

 France 5 - jeudi 17 novembre  21:40

 Documentaire > Art

France - 2011
Durée : 50 min

Le courant impressionniste a bouleversé l'histoire de la peinture durant la seconde moitié du XIXe siècle. Monet, Renoir, Pissarro... : tous veulent décrire les fugaces effets lumineux de l'eau et du ciel. Ils quittent donc leurs ateliers de la capitale pour la campagne et la mer. Entre Paris et Le Havre, la Seine joue un rôle privilégié dans l'expansion du mouvement impressionniste. Par la juxtaposition de couleurs claires et vibrantes, la reproduction sur la toile d'impressions fugitives, par des traits de brosses rapides et fragmentés, les impressionnistes ont renouvelé leurs sujets.

Réalisateur

François CHAYé

Société de Production

MFP
FRANCE TéLéVISIONS

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 08:31

= Participation au dossier sur "La Fiac, édition 2011"

   "Star système !", présentation d'une vingtaine de galeries

 

Galerie Georges-Philippe & Nathalie Vallois, Paris

Albarracin 

Pila Alabrracin, sans titre (El Asno), 2010

 

= Dossier "Diane Arbus, une captivante étrangeté" - "Symptômes et monuments"

   Exposition à la Galerie nationale du Jeu de Paume, jusqu'au 5 février 2012

 

   "Questions à Agnès Varda"

 

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Diane Arbus, Enfant avec une grenade en plastique dans Central Park, New York, 1962

 

= "Traits d'union entre nord et sud. art contemporain arabe"

    Exposition Villa Emerige, Paris 16e, jusqu'au 12 novembre

 

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Zoulikha Bouabdellah, Mirage 4, 2010

 

 

 

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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 10:22

- Réédition d'un entretien avec Roman Opalka

  paru dans le n° 10, automne 2004

 

Opalka-1----art-absolument---n--44--nov.-dec.-2011.jpgOpalka-2----art-absolument---n--44--nov.-dec.-2011.jpg

 

OPALKA 1965/1–∞, pour mémoire

 

Tout de blanc vêtu, il est debout devant sa toile. Pinceau en main, il « sculpte » - comme il disait – les sept chiffres du nombre 5 607 249. Sur le fond immaculé de la toile, la peinture fraîche qu’il applique est à peine visible, d’autant qu’il lui faudrait recharger son pinceau en matière. Il est au bout d’une ligne, il décide de suspendre là pour l’instant la séance de travail. Il dépose son pinceau dans un petit pot de verre. Il se retourne, dos à la toile, se saisit de la poire de son appareil photographique et se prend comme à l’accoutumée en photo, plein buste. Sur un petit bout de papier, il note pour mémoire le nombre 5 607 249, le soulignant d’un trait. C’est fini. Il ne reviendra plus jamais devant sa toile. Roman Opalka a achevé son œuvre. Il est brusquement mort le 6 août dernier. L’ensemble N des nombres entiers naturels ne connaîtra pas de suite. La somme des chiffres qui en compose le dernier nombre – 5+6+0+7+2+4+9 – égale 33.

Opalka est un immense artiste. L’un des plus grands, voire le plus grand de sa génération. En 2004, il m’avait accordé un entretien dans lequel il exposait le pourquoi du choix esthétique qu’il avait fait. Avec la rédaction de la revue, nous avons estimé juste de le reprendre tel qu’il avait été publié. Pour mémoire. D’une parfaite lucidité quant à notre rapport au temps, le peintre y parlait de la vie, de la mort et du sublime de la peinture. Du « sfumato d’une existence ».

Roman Opalka n’est plus. OPALKA 1965/1–∞ demeure.

 

 

- Entretien avec l'artiste photographe Yuki Onodera

 

Onodera-1----art-absolument---n--44--nov.-dec.-2011.jpgOnodera-2----art-absolument---n--44--nov.-dec.-2011.jpg

 

Etranges, les photographies de Yuki Onodera offrent à voir quelque chose d’une énigme. Elles ne cachent rien mais elles révèlent des situations qui échappent à notre entendement. Que sont ces personnages silhouettés et photographiés comme à contre-jour ? Qu’en est-il de ces vêtements et de ces boîtes métalliques qui flottent dans l’espace ? Qui sont ces gens dont le visage est oblitéré par une découpe au motif ciselé ? A quoi correspondent exactement ces vues urbaines si semblables et pourtant si éloignées ? Et ces insectes qui semblent se refléter dans une flaque ? Telles sont les interrogations que posent les œuvres de Yuki Onodera. Tout y est le prétexte à la réalisation d’images qui interpellent le regard, qui l’obligent à se repenser. Du coup, à reprendre en considération la nature ontologique de la photographie. L’œuvre de Yuki Onodera a cette rare qualité de nous surprendre et d’encore nous émerveiller.

A découvrir...

 

 

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2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 00:25

Image1-copie-1.jpg

 

Après Thonon-les-Bains, l'exposition "OPALKA. Le vertige de l'infini"

trouve au Mans une nouvelle expression, quelque peu réduite,

mais toujours articulée autour d'oeuvres de l'artiste datées 

pour l'essentiel d'avant 1965. Une exposition unique en son genre. 

  

Brutalement disparu au début du mois d’août, Roman Opalka avait accepté l’invitation de la ville du Mans à conclure l’année de ses 80 ans en reprenant l’exposition « Le vertige de l’infini », organisée cet été à la Chapelle de la Visitation et à la Galerie de l’Etrave de Thonon-les-Bains. Avec tout un lot d’autres manifestations qui se sont tenues à Londres, en Corée du Sud, à Venise, à Vienne, à Milan et à Anvers, elle participait de la sorte à célébrer « l’année Opalka ». Le destin en ayant décidé autrement, Marie-Madeleine Opalka, son épouse, a tenu toutefois à maintenir le programme prévu. Dans ce pays de la Sarthe où il avait choisi de venir s’installer voilà cinq ans, l’exposition du Mans est une façon de lui rendre hommage.

 

Expression majeure d’une histoire de l’art contemporain, la démarche de Roman Opalka relève d’un projet d’œuvre qui égale un projet de vie. Depuis 1965, l’artiste avait fait le choix d’une posture radicale qui consistait à peindre l’ensemble des nombre entiers naturels suivant un protocole qu’il s’était inventé et duquel il n’avait jamais dérogé, sauf à infléchir l’une de ses modalités : toujours le même format de toile, la même qualité de peinture, le même type de pinceau ; toujours s’enregistrer énonçant en polonais – sa langue maternelle – le nombre qu’il est en train de peindre ; toujours se prendre en photo à la fin de chaque séance de travail. Enfin, si Opalka avait peint le premier tableau en blanc sur fond noir, puis quelques autres sur d’autres fonds colorés, à partir de 1972, il avait décidé d’ajouter d’une toile à l’autre 1% de blanc au fond gris de sa toile, le conduisant à travailler de plus en plus blanc sur blanc, dans l’éclat le plus sublime de la peinture.

 

Reprenant le dispositif mis en place à Thonon-les-Bains, l’exposition du Mans, répartie entre la Collégiale et deux salles du Musée de Tessé, rassemblera une peinture, une série d’autoportraits photographiques et une bande son, auxquels s’ajouteront une série d’estampes réalisées par l’artiste entre 1968 et 1970 et trois ensembles d’œuvres, tant dessinées que peintes, datées entre 1949 et 1964, pour la plupart jamais vues en France.

 

 

 

 

 

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 23:24

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L’art de Bagot procède de la construction de topos improbables qu’il élabore dans le double objectif de mettre en évidence le processus de création lui-même et d’inviter le regard de l’autre à toutes sortes d’expériences perceptuelles. Dans le cadre de son exposition à la Chapelle de la Visitation, l’artiste réalisera in situ une « pièce unique », frontale et monumentale, en forme de claustra à laquelle seront associées diverses sculptures s’apparentant à des maquettes ainsi que des dessins. Si les travaux en volume de Clément Bagot en appellent à toute une matérialité de tasseaux, de profilés, de règles et de néons, il les emploie dans le but de multiplier les jeux d’échelles et de points de vue, offrant ainsi au regard l’occasion inédite d’une « traversée d’espace ». Tout comme ses dessins qui procèdent d’une vision quasi cosmogonique nous entraînent à l’épreuve sidérale de mondes inventés. La démarche de Clément Bagot trouve sa justification dans l’analyse des rapports de l’œuvre au lieu et au spectateur dans une qualité phénoménologique de l’appréhension de l’espace telle que l’a énoncée l’art minimal. A cette différence près que son art se double d’une puissante dimension poétique.                                                                                   

                                                                                                                                        Philippe Piguet

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 17:49

= Dossiers "Génération collectionneurs entrepreneurs"

 

   - Entretien avec Raymonde Moulin, sociologue,

     fondatrice du centre de Sociologie des arts :

     "Le collectionneur entrepreneur, un acteur de la valorisation de l'artiste"

 

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Raymonde Moulin

 

 

   - Entretien avec Antoine de Galbert, foindateur de La Maison Rouge :

      "Ma collection est un vrai bordel ! "

 

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Antoine de Galbert

 

 - "Et si on imaginait une exposition...."

 

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=    Exposition  "La collection des Clark à Giverny, de Manet à Renoir",

      Giverny (27), Musée des Impressionnismes, jusqu'au 31 octobre.

 

   - "Les Clark. Un regard américain sur l'art français du XIXe"

 

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Sterling et Francine Clark

 

   - "A Giverny, des oeuvres rarement vues en France"

 

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Pierre-Auguste Renoir, Autoportrait, 1875

 

   - Questions à... Diego Candil, directeur général du Musée des Impressionnismes

 

 

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Diego Candil 

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 07:46

Unique en son genre, l'exposition de Thonon-les-Bains rassemble en deux lieux distincts - outre les trois éléments constitutifs du programme de l'artiste : une toile, des photos et une bande son -, quatre lots d'oeuvres, figuratives et abstraites, entre 1949 à 1970, dessins, peintures et estampes, jamais vues en france.

Jusqu'au 2 octobre.

 

Thonon

 

= L'article d'Olivier Cena dans Télérama, n° 3218, 14 septembre 2011

 

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