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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 08:15

= Portrait d'artiste :

 

          - "Georg Baselitz. Le Seigneur"

 

= Portrait :

 

          - "La Passion Maïa Muller"

 

= Dossier FIAC :

 

          - "Les quatre nominés du Prix Marcel Duchamp : portraits de...

 

                    - "Skate et archéologie, Raphaël Zarka"

 

                    - "Paysages personnels, Latifa Echakhch"

 

          - "La FIAC des classiques" :

 

                        - "Sophie Taeuber-Arp", "Robert mapplethorpe", "John Chamberlain",

                    Niki de saint-Phalle & Jean Tinguely", "Gina Pane"

 

          - "La FIAC des contemporains" :

 

                    - "Julio Le Parc", "Pierre Clerk", "Annette Messager", "Alan Charlton",

                      "Carsten Höller", "Raymond Pettibon", "Marina Abramovic",

                      "Gilles Barbier"

 

 

= Portrait :

 

          - "Tony Cragg. la passion des matériaux"

                      dans le cadre de son expostion au Musée d'art moderne Saint-Etienne Métropole, jusqu'au 5 janvier 2014.

 

= Expositions en région :

 

          - "Les riches heures d'André Raffray"

                      dans le cadre de son expostion au Musée des beaux-arts de Libourne, jusqu'au 1er février 2014.

 

 

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 23:24

Bagot---Art-Collector.jpg

 

A première vue, les œuvres de Clément Bagot s’offrent à voir dans un trouble formel qu’excède l’évidente complexité de leur composition. Tout y apparaît de l’ordre d’une élaboration savante et d’une densité proliférante en vue de brouiller le regard, lui faire perdre ses repères et l’inviter à l’expérience d’une appréhension inédite du monde. De mondes imaginaires - faudrait-il dire - parce que rien chez lui ne semble adossé à quoi que ce soit du réel. Si peu du moins, quelques rares ponctuations identifiables mises à part. Curieusement, cette dimension abstraite est rattrapée visuellement par ce que le regard qui s’attarde est lentement renvoyé à la conscience de choses vues ou simplement rêvées, concrètes et nommables. Telle sculpture nous rappelle au souvenir émerveillé des premières stations spatiales ou des projections utopiques de la science-fiction ; tel dessin à la découverte stupéfaite des mystères de la vie comme on peut les contempler les yeux rivés à un microscope. L’art de Clément Bagot procède ainsi de l’idée de révélation et du soin de mettre à jour quelque chose d’un secret sans qu’il soit possible d’en préciser jamais la teneur...  

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:15

 

3---Haring-Keith---sans-titre---1982--2-.jpg

 Untitled, 1981

 

"Je pense que je suis né artiste. Je pense que je me dois d’être à la hauteur de cela. J’ai passé toute ma vie jusqu’à maintenant à essayer de comprendre la responsabilité qui est la mienne. J’ai appris en étudiant la vie des autres artistes et en étudiant le monde. Je contribue au monde par mon talent de dessinateur. Je dessinerai autant que possible pour le plus grand nombre de personnes possible, aussi longtemps que possible. Le dessin n’a pas beaucoup changé depuis les temps préhistoriques. Il rapproche l’homme du monde. Il vit par sa propre magie."

Heith Haring, Journal, 1982.

 2---Haring-Keith---sans-titre--Autoportrait-pour-Tony----19.JPG

 Self-portrait (for Tony), 1985

 

 

 

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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 13:57

Jezequel---Thonon---carton.jpg

 

Deuxième de la saison 2013-2014, l’exposition consacrée à Claire-Jeanne Jézéquel s’inscrit dans le cadre de l’une des quatre thématiques - à savoir « Suite, série et variations » - sur lesquelles s’appuie la programmation de la Chapelle de la Visitation de Thonon-les-Bains. Cette exposition est l’occasion de présenter l’actualité du travail d’une artiste, apparue au début des années 1990, lequel est fondé sur la mise en jeu de règles et de protocoles nourrissant la question de la sculpture de toutes sortes de formulations inédites et prospectives. La démarche de Claire-Jeanne Jézéquel procède ainsi d’une réflexion sur la façon de fabriquer de l’espace et de donner corps à tout un ensemble de sculptures ouvertes. 

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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 08:47

= Portrait :

                  - "Pierre Huyghe. Explorateur aux frontières du réel"

                     exposition au Centre Georges Pompidou jusqu'au 6 janvier 2014.

 

DP-Pierre-Huyghe-4.jpg

 

 

= Visite d'atelier :

                   - "Philippe Parreno. Sa révolution au Palais"

                     exposition au Palais de Tokyo, jusqu'au 12 janvier 2014.

 

parreno1.jpg

 

 

= L'oeil des expositions :

                   - "Leon Kossoff"

                      galerie Lelong, jusqu'au 26 octobre.

 

 MED_BD_8828_C.jpg

 

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 13:40

 

7---Peyrefitte-Alain---Quand-la-Chine-s-eveillera-.---197.jpg

Alain Peyrefitte, Quand la Chine s'éveillera...", 1973

 

 

 "Et la Chine s'est éveillée..."

Le formidable éveil de la Chine tel qu’il s’est opéré depuis plusieurs décennies trouve à se manifester sous toutes les formes. Dans le domaine de l’art contemporain, la scène chinoise a connu toutes sortes d’événements, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, qui l’ont portée au premier rang de l’actualité. Analyse d’un phénomène à l’écho d’une nation dont la production artistique balance entre ses propres référents et les critères d’une esthétique internationale. 

 

 

7---Huang-Yong-Ping---One-Man--nine-animals-1---1999.jpg

Huang Yong Ping, One man, nine animals, 1999, Caen, Musée des Beaux-arts

 

 

 

 

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 13:31

 

 

Bizien-Vincent---expo-Galerie-Maia-Muller---carton---10.jpg

 

 

Vincent Bizien, la vie à côté

Des touilleurs, des pendus, des croquemitaines, des gueules cassées, des marginaux…, le monde de Vincent Bizien semble sortir tout droit d’une cour des miracles. Il y va tout à la fois de l’idée de mascarade, de danse de mort, de jeux interdits et de mystérieux rituels dont les acteurs sont le plus souvent des figures juvéniles apeurées, comme si elles pressentaient l’avènement d’une catastrophe ou en revenaient stupéfaites de ce qu’elles avaient vécu. Leurs visages simplement silhouettés ou violemment brouillés composent toute une galerie de masques qui témoignent d’un regard troublé sur l’autre. Comme si l’artiste lui-même avait peur de ses propres personnages et se laissait emporter dans une sorte de sarabande existentielle qu’il tentait par suite de transcrire d’un dessin à l’autre.

 

Vincent Bizien ne se raconte pas des histoires. Il met au monde des visions, travaillant sous le coup de l’impulsion, dans un état émotionnel intense. Aucune espèce de règle ne gouverne sa démarche sinon l’absence de règles de sorte à laisser advenir les images sans préliminaire aucun. Un peu comme on va à la pêche au chalut. Centré sur l’idée de portrait, sinon de figure, son travail puise aux sources les plus diverses, qu’elles soient culturelles - comme Goya, James Ensor ou Louis Soutter - ou autobiographiques – un visage croisé dans la rue qui le frappe, une image aperçue dans les médias, le souvenir d’une lecture, etc.

 

Quelque chose d’une débâcle et d’une perdition est à l’œuvre dans le travail de Bizien à l’instar des héros des romans de Richard Brautigan, thuriféraire de la contre-culture, surnommé le « dernier des Beats », auteur de La pêche de la truite en Amérique, best-seller de l’année 1967. Le même sentiment d’empathie, la même errance, la même atmosphère poétique, les mêmes inconnues de temps et d’espace. Si l’un des thèmes récurrents de Vincent Bizien est le cirque, c’est qu’il désigne par excellence une arène où tout se joue et qu’il met en scène les deux faces, grinçante et drolatique, de l’homme. C’est aussi parce que le cirque sous-tend l’idée de parade et de la vie à côté, qui mêle l’étrange et le merveilleux, le bizarre et la fable, le banal et l’insensé. Et que le cirque détermine comme un lieu de résistance et de dérision à toute dérive humaine.

 

"Vincent Bizien - Mothman Circus", Galerie Maïa Muller, 19 rue Chapon, 75003 Paris, jusqu'au 10 novembre 2013.

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 12:46

   Le Grenier du Chapitre, rue S James, 45000 Cahors,

   jusqu'au 21 octobre 2013.

 

 

 

DW

 

 

[...] Pétri du maillage de ses origines anglo-saxonnes, de son enfance et de son adolescence au Zimbabwe puis de son installation en France et de sa naturalisation, Wylie l’est aussi de ses voyages. Si ses premières peintures réfèrent à une vision chamboulée et fragmentaire de l’univers urbain haussmannien, celles qui déterminent son style et qui marquent une étape décisive dans son rapport à la problématique destruction/construction tiennent au voyage qu’il a effectué, en Israël, en 2005. Dans un entretien avec Guy Tosatto à l’occasion de son exposition au musée de Grenoble, l’artiste explique comment, d’une part, étant en France et devant vivre de sa peinture, « il a fallu que je me fasse naturaliser par la peinture » et comment, de l’autre, face à la situation dramatique du Zimbabwe, il s’y est confronté « par la peinture » et le thème de la ruine [...]

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 12:28

Mer---Ciel---Toulon---Carton-copie-1.jpg

 

« Entre mer et ciel »… La formule est récurrente. Elle est surtout employée dans l’économie du tourisme pour tenter de vanter les mérites d’un site naturel dont la beauté le dispute à tout entendement. Elle est une invitation à se laisser emporter dans un songe tant ces deux noms communs stimulent l’imaginaire à l’exercice d’un illimité, à l’épreuve d’une infinitude, tant ils réfèrent au sublime d’un ressenti, libéré de toute contrainte, à l’écart de toute contingence du réel.

La mer… le ciel… Existe-t-il deux entités plus jumelles ? Quand celui-ci se charge, celle-ci gronde. Quand il s’épure, elle s’étale. Si celle-ci reflète celui-ci, mer et ciel sont irrémédiablement liés ; aussi rien ne dit que ce ne soit pas le contraire. « Nous croyons regarder le ciel bleu, dit Gaston Bachelard. C’est soudain le ciel bleu qui nous regarde. » Et si c’était la mer ? Comme un grand œil ouvert sur le monde [...]

"Mer & Ciel", Musée d'Art, 113 boulevard Leclerc, 83000 Toulon 

jusqu'au 26 janvier 2014.

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6 octobre 2013 7 06 /10 /octobre /2013 18:35

...ces articles parus dans L'oeil, septembre 2012, # 660

 

- Portrait de "Camille Henrot. A Venise, la "meilleure jeune artiste""

 

- Portrait de "Claire Chesnier, la peinture fluide"

 

 

et parmi les Grands Rendez-vous de la rentrée :

 

 

- "Huyghe et Parreno", au Centre Pompidou et au Palais de Tokyo ;

- "Serge Poliakoff, le rêve des formes", au Musée d'art moderne de la Ville de Paris ;

- "Biennale de Lyon", à Lyon ;

 

et dans le Cahier des expositions :

 

 

- "Henrique Oliveira, d'improbables noeuds", au Palais de Tokyo ;

- "Un autre regard sur la Fondation des Treilles", au Musée d'art et d'Histoire

    Louis Senlecq, à L'Isle-Adam (95) ;

- ""Leur" Johannesburg", à la Maison rouge, à Paris ;

- "L'histoire en dépôt", à Dépoland, à Dunkerque (59) ;

- "Marseille comme une Babel de l'art", au Musée d'art contemporain et dans 27 lieux

    de la ville de Marseille ;

- "Noël Dolla, à votre guise", à la Villa Arson, à Nice (06) ;

- "Les Papesses, le corps en jeu", au Palais des Papes et à la Collection Lambert,

    à Avignon (13) ;

- "Vermeer, en version symphonique", à la National Gallery, à Londres (GB) ;

- "Erik Boulatov, d'actualité, hélas !", au Nouveau Musée national de Monaco,

    Villa Paloma, à Monaco.

 

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