15 octobre 2021
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Plaques de polystyrène, morceaux de carton plat ou cannelé, rubans de paperolles ou d’orgue de Barbarie, papiers en tous genres, Dominique De Beir affectionne tout particulièrement les matériaux les plus triviaux qui soient. Elle les utilise aux fins de créer toutes sortes d’images et de situations minimales, soit en les peignant, en les imprimant et en les impactant, soit en exploitant leur propre nature physique, pour les offrir en traversée ou en transparence à la lumière. Le rapport tactile à la matière de ses oeuvres procède de tout un travail d’altérations qui dessinent des mondes d’une grande poésie et d’une singulière sensualité.